Il y eu Sophie, Marie et puis Lisa.
Eléonore, Sandrine et Jessica.
Assis devant mon lit, chaque matin je la vois
Dépasser ma fenêtre, accélérer le pas
Le regard assuré, le visage si froid
Les seins mal ajustés, les cheveux un peu gras
Assis dans ma fenêtre, chaque matin je la vois
Entreposer ses rêves, réajuster ses bas.
Au détour de ses lèvres, je sens mon cœur qui bat
Le rythme est appréciable, mais les mots ne sont pas
Jetés par la fenêtre, chaque matin je la vois
Et moi comme un débile, je crois qu’elle vient pour moi.
Je ne suis pas assez beau pour être amoureux.
25 novembre 2013
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire