Ça y est j'ai enfin laissé mon taf chiant et sans intérêts. En cette période délicate, cela peut paraitre un peu suicidaire, mais en même temps l'on connait mon côté maso et un peu immature. D'ailleurs en guise de premier jour de recherche d'emploi je me touche nonchalamment devant un numéro d'Histoire naturelle, encore plus chiant encore...
En fait à dire vrai, j'essaye surtout d'émerger d'un week end assez chargé. En effet, week end rugby sur Marseille pour un tournoi rassemblant 300 personnes passablement éméchées. 2 jours de match et 2 soirées, enfin surtout 2 soirées.
L'alcool sponsorisé aidant, nous quittons la salle qui nous accueille le premier soir avec un montant de dégâts avoisinant plusieurs milliers d'euros. Chaises, tables, vitres et même des vases en terre cuite qui n'auraient jamais dû être là : tout y est passé.
Nous avons été sans pitié.
Je ne crois pas que nous reviendrons dans un salon privé du stade vélodrome.
Le deuxième soir est plus calme, la fatigue accumulées lors des matchs aidant. Mais cela nous permet ainsi de gagner en lucidité pour draguer sur le vieux port. Certains sont couronnés de succès, d'autres moins.
Peut être aurais je dû me rendre compte qu'avoir joué à casse-glaçons avec mon front pendant tout le dîner pouvait laisser des traces de sang peu engageantes.
14 septembre 2009
9 septembre 2009
Nouveauté
Comme toute période de rentrée, celle-ci apporte son lot de nouveauté. Nouvelles pompes, nouveau costume, nouvelle technique de branlette, nouvelle coloc, nouvelle vie, accessoirement.
Maquée jusqu'aux couilles, la donzelle qui partage mon appart, à défaut de ma vie, n'en est pas moins bougrement excitante avec ses petit seins, et surtout intarissablement intéressante lorsqu'on discute cul.
Enfin une femme, une vraie, pas une de ces mijaurées parisiennes au ballet si profondément enfoncé dans le cul, une qui pourrait me redonner foi en l'être féminin, du moins le respecter pour ce qu'il est et non pour ce qu'il représente.
Ce matin je ne suis pas allé tafer, j'ai préféré rester chez moi, fixer ce ciel parisien d'un blancheur aveuglante et incroyablement ennuyante, tout en écoutant distraitement le dernier Arctic Monkeys. Pas mauvais d'ailleurs.
Je suis en pleine période d'interrogation, d'introspection, de réflexion et à vrai dire je n'en retiens pas grand chose. Je le regretterai surement bientôt.
Maquée jusqu'aux couilles, la donzelle qui partage mon appart, à défaut de ma vie, n'en est pas moins bougrement excitante avec ses petit seins, et surtout intarissablement intéressante lorsqu'on discute cul.
Enfin une femme, une vraie, pas une de ces mijaurées parisiennes au ballet si profondément enfoncé dans le cul, une qui pourrait me redonner foi en l'être féminin, du moins le respecter pour ce qu'il est et non pour ce qu'il représente.
Ce matin je ne suis pas allé tafer, j'ai préféré rester chez moi, fixer ce ciel parisien d'un blancheur aveuglante et incroyablement ennuyante, tout en écoutant distraitement le dernier Arctic Monkeys. Pas mauvais d'ailleurs.
Je suis en pleine période d'interrogation, d'introspection, de réflexion et à vrai dire je n'en retiens pas grand chose. Je le regretterai surement bientôt.
1 septembre 2009
Reprise
Un mois, un bon mois que je n’ai pas écrit sur ce blog. Parfois par manque d'envie, parfois aussi parce que je n’ai pas eu la force d’écrire tellement les (res)sentiments se bousculaient autour de moi.
Même si j’ai pris de bonnes initiatives cet été, je suis toujours aussi instable, certains jours me sentant beau et presque sûr de moi, d’autres me trouvant aussi merdique, bourré de défauts et insignifiant qu’il soit possible de l’être.
Au moins, après mon dérapage du mois de Juin, je ne vois pas tous les jours en noir, j’essaye de mieux me connaître, et de tirer quelque chose de mes erreurs passées.
Mais ça peut être dur à vivre quand l’on se sent bien et équilibré pendant plusieurs jours, voir plusieurs semaines, et que tout d’un coup une petite phrase, une petite remarque, quelquefois vicieuse, souvent anodine, vient vous retourner la tête en une fraction de seconde et vous fout le cafard ou la haine pendant le restant du mois.
Dès lors, comment (re)trouver la confiance, l’assurance, quand on ne l’a jamais eu et que l’on chie dans son froc au moindre truc qui demande d’avoir des couilles ?
Sans volonté de changer son caractère, on reste une grosse merde, une loose ambulante, seul, en crise constante avec soi même.
Je m’étais tailladé les bras puis avais eu honte de l’avoir fait, geste puéril et gratuit qui vous marque à la trace un certain temps.
Mais je crains de ne pas être à l’abri de recommencer.
Même si j’ai pris de bonnes initiatives cet été, je suis toujours aussi instable, certains jours me sentant beau et presque sûr de moi, d’autres me trouvant aussi merdique, bourré de défauts et insignifiant qu’il soit possible de l’être.
Au moins, après mon dérapage du mois de Juin, je ne vois pas tous les jours en noir, j’essaye de mieux me connaître, et de tirer quelque chose de mes erreurs passées.
Mais ça peut être dur à vivre quand l’on se sent bien et équilibré pendant plusieurs jours, voir plusieurs semaines, et que tout d’un coup une petite phrase, une petite remarque, quelquefois vicieuse, souvent anodine, vient vous retourner la tête en une fraction de seconde et vous fout le cafard ou la haine pendant le restant du mois.
Dès lors, comment (re)trouver la confiance, l’assurance, quand on ne l’a jamais eu et que l’on chie dans son froc au moindre truc qui demande d’avoir des couilles ?
Sans volonté de changer son caractère, on reste une grosse merde, une loose ambulante, seul, en crise constante avec soi même.
Je m’étais tailladé les bras puis avais eu honte de l’avoir fait, geste puéril et gratuit qui vous marque à la trace un certain temps.
Mais je crains de ne pas être à l’abri de recommencer.
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