Retour chez moi, le grand sud. Retour à la source, à la sérénité, au calme. Envie de faire le point, tout ça, loin de Paris, de tout, de toute cette agitation ambiante et stérile.
Retour au point départ, à l’origine de toute chose. Prendre le temps de voir la vie s’écouler, de voir les siens tels qu’on les a jamais vu. Et qu’on aurait toujours dû les voir.
Ce matin le soleil se lève paisiblement au coin du jour et laisse tranquillement se dévoiler chacun de ses rayons; cette luminosité anormale m’emplie d’un bien-être certain.
Le peignoir Lacoste nonchalamment posé sur les épaules ou cintré sur les hanches, je savoure l’instant sans avoir pensé une seule seconde à Maria. Libéré des chaines du désir et du ressentiment. Libéré de toute notion de cynisme et de cupidité.
C’est peut être ça le bonheur.
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